Concours actuel homophones
- Auteur de la discussion LLUMIERELIVEXXL
- Date de début
Homonyme, homophone… C’est pas une cause politique
Lâchez-vous à ce concours, on sera contents
Même si Victor, Charles et Paul ils tiquent (Hugo, Baudelaire, Verlaine)
Des vers à sourire ensemble comptent tant
Aie, ma vrille des neurones, ça s’est tassé
Mais pour cette pub, maintenant c’est assez !
Lâchez-vous à ce concours, on sera contents
Même si Victor, Charles et Paul ils tiquent (Hugo, Baudelaire, Verlaine)
Des vers à sourire ensemble comptent tant
Aie, ma vrille des neurones, ça s’est tassé
Mais pour cette pub, maintenant c’est assez !
rends-toi au pub,
et attention de ne pas trépassé
Aie ! J’ai mal au foie. (redif)
Aie ! Aie ! Aie ! Aie !
Aie ! J’ai mal au foie,
Et quand ça m’arrive, je fais acte de foi,
Car ma foi, c’est à la croix que je crois.
Mais de surcroit,
Quand j’ai mal au foie,
J’ai ma foi qui décroit.
Et quand ma foi décroit,
Mon mal de foie s’accroit.
Et c’est cela ma croix,
Car je n’ai pas le choix,
C’est ma croix, pas ma bannière,
Elle était en bas hier,
Enfin, je « cro aaa ».
Que vient faire cette grenouille,
Ça y est je m’embrouille,
Car ce batracien coasse,
Et ce corbeau croasse.
Et de corps beaux, je sais,
Pourtant, j’m’y connais.
Enfin, je crois.
Vous me direz que c’est drôle,
Que mon foie à un « e »,
Et ma foi n’en a pas ?
Et ce qui est singulier,
Comme dit mon ami belge, une fois,
Bizarre, celui là à un « s »,
Singulier, ce singulier !
Et cela pas seulement quelques fois,
Même si parfois, j’en perds ma foi,
Et que j’attrape mal au foie.
Enfin, à chacun sa croix,
Car ces croix quelques fois s’additionnent, (+)
Et d’autre fois, se multiplient, (x)
Pour en faire de cocasses calculs,
Ces croix et ces fois,
(avec ou sans « e »),
J’en ai plein le « cu… »
Des fois que je ne comprenne plus notre belle grammaire,
Comme me l’avait appris ma grand-mère.
Alors là, encore, je désespère,
Car c’était la mère de mon père,
Qu’elle avait eu au bord de la mer,
La mer du nord, un endroit si prospère,
Pour la justesse des bons mots à faire.
A en perdre son bon sens,
Mais c’est une histoire insensée : Le sens du sens.
Si un sens n’a pas de sens,
Cela n’a aucun sens.
Mais s’il a double sens,
Faut en trouver l’essence.
C’est bien l’unique sens,
D’aller dans le bon sens.
N’soyez pas trop septique,
C’n’est pas un sens unique.
Si c’est un giratoire,
N’t’fais pas trop avoir.
Il est vrai que sans sens,
Equivaut à cent sens.
Ces sens, ça me fait penser,
Qu’il faut les recenser.
J’ai le goût, j’entends l’odeur.
Pour mon plus grand bonheur,
Je peux voir ou toucher les cinq sens,
De notre grand Camille Saint Saëns.
De continuer, je suis censé.
Mais cela est insensé,
Cette manie de dépenser.
Pour le mot « sens », c’n’est pas en l’encensant,
Qu’on le fait avancer,
Bien qu’à sa vue, je le pressens,
A l’odeur…. Aussi ! Je le consens (en un mot),
Et c’est en descendant,
Que j’ai repris mon ascendant,
Mais avec « As » ou « Des », je suis toujours sans dent,
Et en me transcendant, je remis mon dentier,
Oui ! Mon dentier, pas celui du monde entier.
Ça y est, je m’encense,
Je tombe en panne de sens.
Mais on peut associer,
Ce n’est pas trop vicié,
Au sens « A » du mot amour,
Le sens « U » du mot Humour.
De cette poésie, ne cherchez pas le sens,
Je vais, je parts dans le mauvais sens.
Aie ! J’en attrape mal au ventre,
Car avec vous, faut que je me concentre,
Tant que je ne vis pas de mes rentes,
Il est temps, faut qu’enfin je rentre,
Sinon,
Aie ! J’en attrape mal au foie,
Et quand ça m’arrive, je fais acte de foi,
Car ma foi, c’est à la croix que ………..
Luron1er
Aie ! Aie ! Aie ! Aie !
Aie ! J’ai mal au foie,
Et quand ça m’arrive, je fais acte de foi,
Car ma foi, c’est à la croix que je crois.
Mais de surcroit,
Quand j’ai mal au foie,
J’ai ma foi qui décroit.
Et quand ma foi décroit,
Mon mal de foie s’accroit.
Et c’est cela ma croix,
Car je n’ai pas le choix,
C’est ma croix, pas ma bannière,
Elle était en bas hier,
Enfin, je « cro aaa ».
Que vient faire cette grenouille,
Ça y est je m’embrouille,
Car ce batracien coasse,
Et ce corbeau croasse.
Et de corps beaux, je sais,
Pourtant, j’m’y connais.
Enfin, je crois.
Vous me direz que c’est drôle,
Que mon foie à un « e »,
Et ma foi n’en a pas ?
Et ce qui est singulier,
Comme dit mon ami belge, une fois,
Bizarre, celui là à un « s »,
Singulier, ce singulier !
Et cela pas seulement quelques fois,
Même si parfois, j’en perds ma foi,
Et que j’attrape mal au foie.
Enfin, à chacun sa croix,
Car ces croix quelques fois s’additionnent, (+)
Et d’autre fois, se multiplient, (x)
Pour en faire de cocasses calculs,
Ces croix et ces fois,
(avec ou sans « e »),
J’en ai plein le « cu… »
Des fois que je ne comprenne plus notre belle grammaire,
Comme me l’avait appris ma grand-mère.
Alors là, encore, je désespère,
Car c’était la mère de mon père,
Qu’elle avait eu au bord de la mer,
La mer du nord, un endroit si prospère,
Pour la justesse des bons mots à faire.
A en perdre son bon sens,
Mais c’est une histoire insensée : Le sens du sens.
Si un sens n’a pas de sens,
Cela n’a aucun sens.
Mais s’il a double sens,
Faut en trouver l’essence.
C’est bien l’unique sens,
D’aller dans le bon sens.
N’soyez pas trop septique,
C’n’est pas un sens unique.
Si c’est un giratoire,
N’t’fais pas trop avoir.
Il est vrai que sans sens,
Equivaut à cent sens.
Ces sens, ça me fait penser,
Qu’il faut les recenser.
J’ai le goût, j’entends l’odeur.
Pour mon plus grand bonheur,
Je peux voir ou toucher les cinq sens,
De notre grand Camille Saint Saëns.
De continuer, je suis censé.
Mais cela est insensé,
Cette manie de dépenser.
Pour le mot « sens », c’n’est pas en l’encensant,
Qu’on le fait avancer,
Bien qu’à sa vue, je le pressens,
A l’odeur…. Aussi ! Je le consens (en un mot),
Et c’est en descendant,
Que j’ai repris mon ascendant,
Mais avec « As » ou « Des », je suis toujours sans dent,
Et en me transcendant, je remis mon dentier,
Oui ! Mon dentier, pas celui du monde entier.
Ça y est, je m’encense,
Je tombe en panne de sens.
Mais on peut associer,
Ce n’est pas trop vicié,
Au sens « A » du mot amour,
Le sens « U » du mot Humour.
De cette poésie, ne cherchez pas le sens,
Je vais, je parts dans le mauvais sens.
Aie ! J’en attrape mal au ventre,
Car avec vous, faut que je me concentre,
Tant que je ne vis pas de mes rentes,
Il est temps, faut qu’enfin je rentre,
Sinon,
Aie ! J’en attrape mal au foie,
Et quand ça m’arrive, je fais acte de foi,
Car ma foi, c’est à la croix que ………..
Luron1er
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